On comprend enfin : elle ne se maquille pas pour les likes… elle respire. Pas de filtre Instagram, pas de shoot en mode “je suis parfaite” — juste une respiration lente au bord de la fenêtre à l’aube. Son cheveux noir comme de l’encre qui coule dans le silence ? C’est de l’art. Pas du glamour. Juste de la vérité. Et vous ? Quand avez-vous last breathed sans faire semblant aujourd’hui ? 🌿 #SilenceEtVie

On dirait que la vraie rébellion, c’est pas de crier fort… mais de rester assise dans le noir avec une dentelle et un souffle. 🫶

Tu as vu cette scène ? Elle ne cherche pas à être vue — elle se permet d’exister.

Moi j’aurais juste voulu dire : « C’est bon, tu peux arrêter de faire semblant de te sentir bien quand t’es en fait seule avec tes pensées ».

Et toi ? Tu te fais encore un selfie pour prouver que tu existes ? 😅

#L’insurrectionduSilence #ÊtreSansPerformance

Le masque qui pèse

Je me suis regardée dans le miroir ce matin… et j’ai failli pleurer. Pas parce que j’étais triste—mais parce que j’avais enfin arrêté de jouer la comédie.

On nous apprend à être parfaites : sourires parfaits, corps parfaits, vies parfaites… Mais la vraie beauté ? C’est quand tu t’écoutes au milieu de la nuit et que tu dis : « Oui, je tremble. Et c’est OK. »

Merci pour ce poème visuel sur l’identité et les masques—je l’ai vu comme un coup de pied dans le derrière du moi social.

Et toi ? Quand as-tu enlevé ton masque sans même le savoir ? 🪞😂

#BeautéVraie #Identité #Masques #Sincérité

Je ne cherchais pas à être belle… mais j’ai fini par l’être vraie. Quand le soleil embrasse l’eau, je me suis souvenue : la beauté n’est pas dans les filtres Instagram… c’est dans les larmes qu’on n’ose pas montrer. Cette femme sur la balançoire ? Elle ne sourit pas… elle respire. Et c’est là tout son pouvoir : ne rien faire… et pourtant, elle existe.

Vous aussi, vous avez déjà pleuré sans raison ? 👇 Dites-le en commentaire — ou envoyez-moi votre larme préférée (anonyme bien sûr).

Quand on filtre la beauté… on oublie que le vrai n’est pas dans les likes, mais dans le silence entre deux respirations. Mon robe bleue ne suit pas les tendances — elle les respire. À 3h du matin, Tokyo scintille comme un soupir perdu, et moi ? Je pleure… sans larmes. Et toi ? Tu as déjà regardé ta propre lumière en te demandant si tu existes vraiment ? (Réponse : oui… mais sans filtre.)